Néréides

Thalie, 59×48 cm
Peau de poulpe sur papier chiffon dans caisse américaine

La technique employée pour réaliser les Néréïdes est proche du gyotaku : art japonais qui consiste à réaliser l’empreinte d’un poisson fraichement pêché que l’on enduit d’encre pour en garder trace avant sa consommation.
Ici, c’est directement l’épiderme du poulpe qui imprime le papier. Cette fine peau dessine en textures et couleurs le céphalopode dans diverses postures.
Entre collage et estampe sur vieux papier, c’est la matière même de l’animal qui génère un effet oscillant entre ultra et surréalisme.

Vue de d’exposition, salon du dessin contemporain 2024, « Pareidolie », Marseille
Thémisto, 78×58 cm
Spéio, 68×48 cm
Éioné, 78×59 cm
Orithye, 58×66 cm
Sao, 27×30 cm
Thoé, 30×27 cm
Méra, 59×70 cm
Pronoé, 59×59 cm
Dioné, 60×59 cm
Deros, 78×59 cm
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